La gestion complexe des trottinettes électriques usagées

Une filière animée par FPMM, Ecologic et Screlec

La trottinette électrique connaît son plein essor en France depuis deux ans. En 2019, 1,8 million d’engins de déplacement personnels (EDP) ont été vendus dans l’hexagone, en hausse de 13 %, marqué par un décollage fulgurant des trottinettes électriques (+105%). Soutenue par le boom de la location, celle-ci répond à une forte demande de mobilité urbaine douce. Pour pérenniser ce marché, la FPMM (Fédération des professionnels de la micro-mobilité) réfléchit à une meilleure gestion de ces engins en fin de vie. Objectif : prolonger leur durée de vie et organiser une filière de recyclage pérenne.

Star de la micro-mobilité urbaine venant se substituer à la voiture ou aux transports en commun, la trottinette électrique s’est vendue l’an dernier à quelques 478 000 exemplaires en France. Cela en fait le premier marché de la distribution en Europe (ndlr. la fabrication est majoritairement chinoise, mais c’est un autre sujet). L’engouement pour la location ou le libre service a permis à cet engin de se démocratiser au fil des mois, jusqu’à devenir un véhicule essentiel pour la reprise de l’activité économique après . . .

Ce contenu est réservé aux abonnés du site L'écho circulaire, si notre contenu vous intéresse, allez voir nos offres d'abonnements.

Partagez cet article