Au sommaire du n° 106 du 22 septembre 2022

Dossiers

Quelles normes pour le mobilier de seconde main ?

  • Le mobilier d’occasion représente environ 10 % du marché de l’ameublement. L’offre se diversifie avec du mobilier professionnel reconditionné et upcyclé. La progression de ce marché est surtout poussé par la législation en faveur du réemploi. Une nouvelle génération d’acheteurs émerge parmi les entreprises et les administrations publiques.
  • Mais contrairement au mobilier neuf, il n’existe que très peu de normes sur la sécurité et la traçabilité sur l’ameublement de seconde main. Cette faille réglementaire n’empêche pas la filière d’avancer. Des travaux sont en cours, portés par le FCBA, l’Ameublement français et Valdelia. En savoir plus

Les appareils multi-media reconditionnés, plus vertueux

  • Les appareils électriques et électroniques reconditionnés ont le vent en poupe. Moins chers que le neuf, ils peuvent ainsi durer quelques années de plus, évitant le gaspillage de nouvelles ressources. Les professionnels de la réparation et du reconditionnement s’organisent et des partenariats sont créés.
  • Mais au final, ces smartphones, tablettes ou ordinateurs reconditionnés sont-ils plus vertueux sur le plan environnemental ? Pour l’Ademe, la réponse est oui, à condition que tous les acteurs de la chaîne adoptent les bonnes pratiques, avec deux priorités : quantité et qualité. En savoir plus 

Actus

Acorus mise sur l’éco-rénovation et le réemploi dans le bâtiment

Acteur de la rénovation dans l’immobilier professionnel depuis plus de vingt ans, le groupe Acorus se spécialise dans l’éco-rénovation pour réduire l’empreinte carbone de ses clients. Après son entrée au capital de Cycle Up, Acorus va ouvrir un atelier de reconditionnement de produits du bâtiment avant la fin de l’année. En savoir plus

Un observatoire du réemploi pour aiguiller les filières REP

Voulu par les lois AGEC et Climat, l’Observatoire national du réemploi et de la réutilisation a été lancé en septembre 2022. Cette instance est portée par l’Ademe qui lui réservera quelques moyens humains et son expertise. Deux grandes missions : centraliser et diffuser les informations aux filières REP concernées ; suivre de près l’évolution du réemploi dans les emballages jusqu’en 2025. En savoir plus

Partagez cet article