Déchets abandonnés : un casse-tête en France qui coûte cher

Gestes Propres manque de moyens pour mesurer l’impact de ses actions

Abandonnés sur la voie publique, les déchets coûtent chers à la collectivité en plus des risques de pollution. Du chewing-gum à l’emballage, du mégot au matelas, les déchets sauvages sont estimés en France à un million de t/an. Les actions de Gestes Propres semblent à ce jour insuffisantes. Les déchets changent de nature mais sont toujours là. Depuis 2022, de nouveaux chantiers menés dans trois villes de France cherchent à mieux connaître les comportements et à mesurer les actions de prévention. Le soutien des nouveaux éco-organismes est attendu de pied ferme.

La France va-t-elle enfin connaître une diminution de ses dépôts sauvages ? La loi AGEC de 2020 demande désormais une contribution financière et matérielle de plusieurs filières REP au traitement des déchets abandonnés relevant de leur périmètre. C’est notamment le cas pour les mégots et les emballages ménagers. L’arrivée des éco-organismes ecomaison et Alcome dans la communauté de l’association Gestes Propres n’est pas un hasard. D’autres devraient suivre rapidement, comme les filières REP pâtes à mâcher . . .

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