L’impression 3D, un nouveau filon pour le recyclage

Les producteurs de filaments au chevet des déchets plastiques

Petite révolution dans le monde des technologies numériques, l’impression 3D a pris ses marques dans l’industrie depuis déjà trois décennies. Utilisée pour le prototypage, la production de pièces techniques en petites séries ou le design, la fabrication additive recourt à différents procédés et matériaux (plastiques, résines, composites ou encore poudres métalliques). De toutes les techniques existantes, l’impression 3D par filaments fondus représente la plus accessible et surtout une formidable opportunité de recyclage pour les déchets plastiques industriels ou post-consommation.

Ils sont entre quatre ou cinq en France à développer, fabriquer et commercialiser du filament pour l’impression 3D. A première vue, rien de bien révolutionnaire. Pour fabriquer un objet design ou un prototype de pièce technique, il suffit d’une bobine de fil en matériau polymère. Ces matières sont variées selon l’usage que l’on souhaite en faire. Les plus couramment utilisées sont le PLA si l’on veut produire des objets biosourcés ou biodégradables, de l’ABS, du hiPS (PS choc) pour obtenir plus de résistance, ou . . .

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