Indice de réparabilité : un suivi indispensable

HOP exige du contrôle et de la transparence

L’indice de réparabilité est entré en vigueur depuis le 1er janvier 2021 sur cinq catégories d’appareils électriques et électroniques. Pour sensibiliser les consommateurs, le ministère de l’Ecologie vient de lancer une campagne intitulée « Nos objets ont plein d’avenirs ». Objectif : encourager l’achat de produits réparables. Pour autant, certaines associations comme HOP exigent un suivi et un contrôle strict de cet indice, liés en particulier aux critères de son calcul. Une coalition d’acteurs de la réparation et de la société civile sera créée d’ici l’été.

Depuis le 1er janvier 2021, l’indice de réparabilité est apposé officiellement sur cinq types d’équipements afin de lutter contre l’obsolescence (programmée ou non) et éviter le gaspillage des ressources : les laves-linge à hublot, les téléviseurs, les ordinateurs portables, les smartphones et les tondeuses à gazon électriques. Adopté dans le cadre de la loi anti-gaspillage pour une économie circulaire (loi AGEC), via l’article 16, il permet au consommateur de savoir simplement et rapidement à travers une note de 0 à 10, si le produit acheté sera facile à réparer ou non . . .

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