Automobile : le marché français de la PIEC à la traîne

Les assurances montent au créneau

Pare-choc, feu arrière, portière, rétroviseur, sièges, vitrages, etc. Ces pièces détachées autrefois chinées dans les casse-autos sont désormais encadrées par la loi et contrôlées. Selon la loi, la pièce issue de l’économie circulaire (PIEC) doit être systématiquement proposée au propriétaire du véhicule lors d’une réparation. Mais l’accès insuffisant aux données techniques constructeurs et le manque de fluidité logistique freinent encore ce marché. Un décret sorti en décembre 2022 est censé améliorer la gestion de ces pièces, même si quelques inquiétudes subsistent.

Depuis la loi de « transition énergétique pour la croissance verte » du 17 août 2015 (article 77), les professionnels de la réparation automobile sont tenus de proposer à leurs clients des pièces de réemploi pour certaines catégories de composants définis par décret. Depuis, la loi AGEC de 2020 pousse à développer la déconstruction automobile et l’utilisation de pièces issues de l’économie circulaire (PIEC). On y trouve notamment des pièces de carrosserie (ailes, portières, pare . . .

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