Filières REP : quel avenir pour le réemploi et la réparation ?

Le rôle de l’Ademe renforcé

Début janvier 2024, la Première ministre Elisabeth Borne avait confié une mission à l’inspection générale de l’environnement et du développement durable, au conseil général de l’économie et à l’inspection générale des finances, sur les filières REP et le fonctionnement des éco-organismes. Objectif : renforcer les performances environnementales et économiques du dispositif. Le réemploi et la réparation n’échappent pas aux dysfonctionnements. Les éco-organismes y sont jugés sévèrement.

Les travaux de la mission se sont déroulés entre fin janvier et juin 2024, quatre ans après la promulgation de la loi AGEC qui a contribué à augmenter le nombre de filières REP et a étendu leurs activités notamment dans le domaine de la réparation et du réemploi. A l’instar des travaux d’évaluation de cette loi, menés à peu près sur la même période, les mandatés se sont heurtés au caractère non exhaustif des données environnementales, et quasiment inexistant des données économiques. A l’issue d’une enquête minutieuse et d’une centaine d’auditions, le . . .

Ce contenu est réservé aux abonnés du site L'écho circulaire, si notre contenu vous intéresse, allez voir nos offres d'abonnements.

Partagez cet article