La cosmétique réduit la voilure de ses emballages

Plusieurs dispositifs en cours sur le réemploi et la consigne

Dans les emballages, il n’y a pas que l’agro-alimentaire mobilisée sur la transition de sa supply chain, en proposant du vrac et du réemploi. L’industrie cosmétique s’y attaque également avec plusieurs tests en cours sur une période et un périmètre définis. Ces opérations sont associées à des travaux de recherche sur l’éco-conception, la consigne et la recharge. En témoignent, les projets Cosm'N'pack de Cosmébio, PharmaRecharge, la coalition Cosmétiques et Réemploi, ou encore Pulp in Action.

Dans le mouvement de la loi AGEC, l'industrie cosmétique n’échappe pas aux objectifs de réduction des emballages à usage unique. Sujet épineux pour ce fleuron français où l’emballage fait partie intégrante de sa politique commerciale, alors qu’une majorité des produits est exportée dans le monde entier. Et pourtant, l’approche « packaging » évolue, y compris dans ce secteur. Selon une étude de Leko, l’un des éco-organismes de la filière emballages ménagers, 88% des Français pratiquent déjà le réemploi et 94% se disent prêts à passer au réemploi . . .

Ce contenu est réservé aux abonnés du site L'écho circulaire, si notre contenu vous intéresse, allez voir nos offres d'abonnements.

Partagez cet article