Les acteurs de l’ESS se serrent les coudes sur le réemploi

Le collectif URS adresse sept propositions aux pouvoirs publics

Depuis la loi AGEC de 2020, le réemploi s’invite dans plusieurs secteurs d’activité. Cette pratique ancienne trouve son origine et son développement notamment chez les acteurs de l’économie sociale et solidaire. Pour défendre leurs activités et leur avenir, six réseaux de l’ESS ont choisi de créer l’Union pour le Réemploi Solidaire. Ce collectif sollicite l’État à travers sept propositions qui revendiquent le caractère social du réemploi.

On ne peut pas parler de réemploi, sans évoquer la nécessité de promouvoir des circuits courts, et des activités non délocalisables qui créent du lien social. Souvent incarnées par des structures associatives, qui mobilisent beaucoup de bénévoles, la réparation ou la revente d’objets d’occasion ont toujours été le moyen pour des structures comme Emmaüs, Envie et aujourd’hui, les ressourceries et les recycleries de subsister. Cela permet à des personnes éloignées de l’emploi de remettre un pied à l’étrier, et pour des objets mis à la poubelle, de trouver une seconde vie. Jusqu’à présent, cette pratique ne rapportait pas gros, mais elle contribuait à la p . . .

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