De nouvelles pistes de valorisation pour les EPI usagés

Ecopal lance une étude de faisabilité dans le Dunkerquois

Gants, casques, chaussures, vêtements font partie des EPI qui une fois usagés, finissent en majorité à la poubelle, incinérés ou enfouis, sans passer par la case recyclage ou réemploi. Quelques initiatives locales ont vu le jour, mais jamais de filière de valorisation durable à grande échelle. Sur le territoire de Dunkerque, l’association Ecopal vient de lancer une étude de faisabilité sur trois ans. Tandis que Port Atlantique La Rochelle poursuit son opération « Libère Ton Vestiaire », et de nouvelles activités de traitement voient le jour chez Triethic et Takapas.

Le marché français des EPI est estimé à 1,5 milliard d’euros. Ces produits souvent techniques et robustes ont pourtant une durée de vie très courte par rapport à leur qualité intrinsèque et leur usage. Renouvelés rapidement, souvent pour des raisons de sécurité, d’hygiène ou de normes, les équipements professionnels industriels ne sont pas traités de manière satisfaisante en général. Leur principal exutoire reste bien souvent l’incinération ou l’enfouissement. A ce jour, il n’existe aucune filière de gestion globale des EPI hors d’usage en France . . .

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