Au sommaire du n° 115 du 02 février 2023

Dossiers :

Les filières DEEE et Piles lancent un plan d’actions contre les incendies

  • L’activité de traitement des déchets est devenue en quelques années, le théâtre de départs de feu, parfois difficiles à maîtriser. Les filières DEEE et Piles sont particulièrement exposées. En cause, les piles au lithium restées dans les appareils usagés.
  • Les éco-organismes ecosystem, Ecologic, Screlec et Corepile ont organisé des Assises inter-professionnelles en juin 2022 pour identifier les flux et les risques. Résultat : un programme de formations et une plateforme de partage de données verront le jour courant 2023.

L’économie circulaire au programme des grandes écoles

  • Au sein des entreprises privées et publiques, des collectivités locales, les stratégies de neutralité carbone et d’économie circulaire se multiplient. Pour les mettre en œuvre, de nouvelles expertises techniques et managériales sont recherchées autour de l’éco-conception, du réemploi, ou de l’écologie industrielle.
  • Croisant les compétences des grandes écoles d’ingénieurs et de management, trois nouveaux Mastères spécialisés Economie Circulaire ouvriront à la rentrée 2023, dix ans après celui d’UniLaSalle Rennes.

Actus :

May’Récup 53 réemploie les flux de chantier déposés en déchèterie

Mobilisée sur la transition écologique, la Mayenne cherche à mieux valoriser ses déchets. Son projet May Récup53 lancé début janvier, incite au réemploi des matériaux et produits du bâtiment déposés en déchèterie. Une opération réalisée en partenariat avec les structures locales de l’ESS.

L’achat d’occasion ne rime pas avec sobriété

Le marché de l’occasion est de plus en plus plébiscité. Les motivations des acheteurs de produits de seconde sont assezhétérogènes, et pour certaines, contre-productives. Dans une étude, l’Ademe pointe les failles d’une pratique pas toujours synonyme de sobriété.

Le Cotrep veut peser sur les travaux d’harmonisation à Bruxelles

Le Comité technique pour le recyclage des emballages plastiques (Cotrep) est devenu groupement d’intérêt économique (GIE). Cela lui permet désormais d’intégrer les travaux européens de normalisation sur la recyclabilité des emballages plastiques. Et défendre la position de la filière française.

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